Ipiales (Colombie) jusqu’à San Gabriel (Équateur)
Nous passons la frontière par le pont international de Rumichaca situé à 7 km au sud d’Ipiales. Un premier tampon pour attester de notre sortie de Colombie, on traverse le pont, pour le prochain tampon attestant de notre entrée en Équateur. Les formalités ont été très simples et rapides, sans aucun contrôle, ça nous questionne un peu.
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Passage de la Colombie à l’Equateur |
L’entrée en Équateur donne tout de suite le ton : braquet tout à gauche, un panorama à perte de vue et les volcans face à nous!
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Des pâturages très pentus |
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Travaux des champs en terrasse à la pioche |
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Le meilleur ami de l’homme très utile |
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On s’approche des volcans |
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Les belles ascensions sont aussi ... des compétitions locales |
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De grandes cultures de pommes de terre |
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Arrêt dans un élevage de « cochon d’Inde » plat des Andes les jours de fête car coûteux |
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Le propriétaire souhaite une photo avec sa fille, on en profite aussi, à défaut d’emporter un cochon d’Inde dans nos sacoches |
L’équateur
Pays de près de 20 millions d’habitants avec une surface moitié de la France. Il est donné comme étant le pays le plus sûr de l’Amérique du Sud. Un niveau de vie plus élevé, pays plus structuré au niveau social avec un salaire minimum obligatoire, une couverture sociale universelle obligatoire, (moins sûr pour ceux qui travaillent la terre) et un taux de pauvreté qui rejoint celui de mon département (37), comme quoi !
Le pays des volcans, certains éteints, d’autres seulement endormis, d’autres actifs.
San Gabriel à el Angel
On quitte la panaméricaine pour aller sur la petite ville d’El Angel, une douce ascension sur 18 km dans un paysage aride, aucune culture, le ciel bien gris nous réserve de violents orages dans l’après-midi, on est à 3000m d’altitude et tout d’un coup il fait très froid, les vêtements d’hiver sont sortis.
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Bel hommage aux cyclistes de San Gabriel qui ont participé au Giro d’Italie en 2018 |
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Route de compétition, notre petit cœur bat aussi lors de cette belle montée! |
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Volcan avec neiges éternelles |
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Église de El Angel en pierres volcaniques |
L’art topiaire à El Angel
Ceci n’est qu’un petit aperçu, le parc est immense, l’entretien permanent.
El Angel à Ibarra
Départ de 3000 m d’altitude où la température a chuté à 5 degrés et c’est parti pour une belle descente de 28 km en suivant les gorges du Rio d’El Angel, la vue est vertigineuse! Eucalyptus odorants et figuiers de barbarie en fleurs et en fruits mûrs bordent la route.
Et après une telle descente y a plus qu’à ... remonter sur 30 km le Rio Chota et ensuite le Rio Ambi. Nous changeons de décor, nous voici parmi de grandes cultures de cannes à sucre et la température atteint les 35°.
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Vous noterez que les gros nuages nous aiment bien, mais nous épargnent souvent. |
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Les eucalyptus sont en pleines fleurs |
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Un oasis de cannes à sucre |
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Ça pousse! |
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François prévoit de changer ses braquets pas adaptés aux rudesses des Andes |
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Qui s’y frotte, s’y pique! |
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Pause fraîcheur à l’ombre des cannes, mais on n’a pas vu venir ... les moustiques Nos pauvres mollets à peine remis de ceux du désert de Colombie |
Visite d’Ibarra
La ville située à 2225m d’altitude est construite au pied du volcan Imbabura (4587m).
On se régale à déambuler dans son immense marché couvert qui regorge de fruits, de légumes et c’est la pleine saison des bigarreaux, doux mais pas sucrés. Une vraie symphonie de couleurs. Belle ambiance.
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Le marché couvert |
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Intérieur de la cathédrale qui possède deux belles entrées. Retable décoré à la feuille d’or |
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Marché de gros qui concerne surtout les différentes variétés de pommes de terre. Vous remarquerez que les tenues vestimentaires des dames changent. |
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Ça nous laisse perplexe! |
Un marché indien
Dont les stands sont tenus par les femmes vendant leurs produits agricoles ainsi que leur artisanat.
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Admirez les belles tenues. |
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En train de broder |
La laguna Yahuarcocha (lac de sang)
Située à l’entrée nord d’Ibarra, et c’est ici même qu’en 1500 les Incas élargissent leur territoire en prenant possession du nord de l’équateur en massacrant les tribus Caranqui et jetant les milliers de corps dans le lac, d’où son nom en « quechua ». En janvier une fête est célébrée en l’honneur des innocents.
Cette lagune est devenue un vrai réservoir pour la faune qui y est protégée. La flore est aussi très variée.
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La jacinthe d’eau, jolie, mais peste végétale, est arrachée pour permettre l’oxygénation du monde aquatique.
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La lagune est située au pied du volcan Imbabura |
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Petite plante appelée « fille de l’air » qui colonise toutes les branches d’arbres ainsi que les fils électriques. Dommage les fleurs sont terminées. |
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Véritable nurserie d’où émergent les jeunes tout duveteux |
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Nombreux canards, bec bleu le mâle, la femelle suit. |
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Ils piaillent beaucoup |
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Peut-être une variété de « cardinal »? |
Ibarra est réputée pour sa gastronomie, pour les gourmands que nous sommes, nous avons testé pour vous... les crevettes, les noix, le chocolat et la glace.
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Ses crevettes roses (plat délicieux et très copieux) |
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Ses pâtisseries aux noix et chocolat |
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Glace à la mûre et guanabana (corossol) |
Pour la petite histoire, cette fabrication a été composée en 1856 par une jeune fille de 16 ans devenue orpheline. Depuis il parait que les chefs d'état passant ici dégustent la glace.
Ibarra jusqu'à Cotacachi
Cette portion de Panaméricaine est appelée "autoroute" car 2 fois 3 voies. Nous la prenons mais franchement pas agréable car nous n'avons plus notre bande réservée aux deux roues motorisées. Les automobilistes nous respectent mais les bus qui s'arrêtent tous les 100 mètres ont une fâcheuse tendance à laisser le marche-pieds à l'extérieur et à nous frôler.
La récompense est la vue panoramique que cette route nous offre sur la ville d'Ibarra au pied de son volcan Imbabura.
Enfin on bifurque pour une petite route tranquille qui nous amène à une entrée plutôt spectaculaire dans la ville de Cotacachi sur fond du volcan du même nom qui s'élève à 4944 m, il est seulement endormi.
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Ville de Cotacachi et son volcan Cotacachi endormi |
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Ville d’Ibarra et le volcan Imbabura |
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Cotacachi : la ville, son volcan... on s’élance direction les clochers de l’église |
Laguna Cuicocha
Le plus beau cratère du volcan Cotacachi est le Cuicocha devenu un beau lac situé à 3000 m d'altitude.
Un beau sentier entretenu permet d'en faire le tour sur 12 km, ponctué de plusieurs miradors dont le plus haut est à 3516 m.
Nous partons tôt avec Jeannine pour profiter de la lumière, température, d'une contemplation maximale de ce lac de cratère qui possède deux ilots avec un bâtiment pour la surveillance du volcan endormi. Ce cratère date de 3100 ans. La randonnée est très sportive, nous mettrons 5h30 mn.
Le panorama est sublime !
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Samedi jour des cyclistes dont le but est de monter jusqu’au cratère, les deux françaises sont très attendues pour leur passage souvenir, on se prête volontiers à cet échange.
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Les deux îlots et la flore de la lagune |
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Juste en admiration |
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Lumière du soir |
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Beaucoup de vent à cette altitude, le soleil fait scintiller la surface de l’eau qui frémit. |
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Le bonheur d’être là, tout simplement. |
Flore de la lagune
Cotacachi
La population est à forte majorité amérindienne. Tous portent les cheveux longs, les hommes sous forme d’une longue tresse, pantalon blanc, poncho noir et chapeau, quant aux femmes et fillettes la tenue est faite d’une longue jupe noire, jupon blanc dessous, corsage très brodé, large collier doré et les sandales de corde.
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Le dimanche, l’église ne désemplit pas jusqu’à midi. |
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La tenue portée par les hommes y compris la tresse |
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Tenue des femmes indigènes |
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Avec le bébé dans le dos |
les enfants aussi portent la tenue traditionnelle
Otavalo
Nous y arrivons par une petite route plutôt piste agréable où nous rejoignons François qui nous attend à l’hôtel (il nous a fait un petit coup de mou, besoin de repos).
Les communautés indigènes sont au nombre de 13, mais la plus représentée est celle des « quechuas » qui est la population majoritaire à Otavalo. C’est à qui aura son poupon dans le dos, population très jeune.
Marché indien très coloré
Présent tous les jours de la semaine avec une présence policière qui vient discuter avec nous et bien évidemment pour la photo.
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Fabrication de jolis sacs au crochet |
Cimetière des indigènes
On a la chance d’arriver en même temps que le président du cimetière, on bénéficie d’explications et évidemment il veut lui aussi sa photo souvenir avec les français.
La plus vieille partie du cimetière date de 130 ans, les tombes sont côte à côte, chacune renferme une famille complète (empilée) pas d’allée pour circuler, donc on marche sur les tombes, ce qui pour nous est très gênant, mais ici cela est « normal ».
Le président nous explique que la partie du cimetière plus récente comporte des allées, et une seule personne par tombe. Il nous présente également des tombeaux : famille très riche de musiciens. La crémation est aussi pratiquée.
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On achète les petits pois tout écossés. |
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Le carré de tissu est souvent porté à plat sur la tête, parfois comme cette femme, il est plié pour rappeler la forme du volcan avec une pointe de neige. |
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Premier ceviche équatorien aux calamars (recette très différente du Pérou) mais toute aussi délicieuse et rafraîchissante |
Nos premiers desserts à Otavalo, un vrai goût de chocolat. Nous avons trouvé notre adresse café/desserts pour la semaine, d’ailleurs les vendeuses nous reconnaissent déjà!
Ici la musique andine est bien présente, diffusée en fin de journée dans les parcs publics, ou par les camions livreurs de bouteilles de gaz pour avertir de leur passage. On ressent beaucoup de zénitude de la part de la population... d’ailleurs on nous dit souvent « tranquille, tranquille ».
Une petite semaine à Otavalo, région très touristique,
On y attend notre quatrième larron « Lionel »
Visites et ensuite on reprend le vélo
La suite d’ici 10 à 15 jours.
Bravo à vous
RépondreSupprimerTrès beau reportage
Merci et prenez bien soin de vous
Bises
Suzanne
Magnifique ,bravo à vous et à vos reportages bon rétablissement à François et prenez soins de vous
RépondreSupprimer👋👋👋
Didier
Quel pays magnifique ! Merci. Bon courage pour la suite. Biz Christèle
RépondreSupprimerMerci de nous faire partager votre voyage Très beau reportage, nous voyageons avec vous
RépondreSupprimerBravo
FRANCOISE B
un plaisir de te lire ,magnifique reportage préparer dans l'art d'un grand reporter. Gilberte.
RépondreSupprimerToujours autant de plaisir à lire notre journaliste préférée.
RépondreSupprimerBises à toute l’équipe.
Merci pour toutes ces photos et l'histoire que vous nous transmettez depuis votre périple
RépondreSupprimerVous devez en prendre plein les yeux et les narines.
Merci et bonne route à vous.
Roberte et jm
Merci Annie du bonheur de vous suivre, bonne continuation à vous tous
RépondreSupprimerBises de Bernadette PPL 😘
Superbe en effet ! et que de photos originales les oeufs... c'est pour le petit déjeuner ? bises à tous; Mimi
RépondreSupprimerQuel plaisir de te lire Annie avec ce nouveau reportage de haute qualité et des photos superbes.. Bon vent pour la suite. Joëlle G.
RépondreSupprimermerci Annie pour la description de cette population ! leur mode de vie ::/leur costumes ::/leur nourriture etc....magnifiques photos!!! bonne visites a OTAVALO!!!! lisetteM
RépondreSupprimerMagnifiques paysages 😀
RépondreSupprimerToujours le même plaisir de regarder tes magnifiques reportages .bonne continuation.michele PPL
RépondreSupprimerMerci Annie et bravo pour ce super reportage ! Mon voyage vélo Colombie/Equateur date de... 30 ans déjà ! mais je retrouve les mêmes sensations au vu de tes images. Mêmes couleurs et costumes au marché d'OTAVALO... Bonne contination à vous 4, bientôt. Bise muscatée. Jeanine L.
RépondreSupprimerMerci de partager ton séjour avec nous. Profitez bien
RépondreSupprimerSuperbes photos, bonne récup pour François et bonjour à Lionel. patrick Le breton
RépondreSupprimerBravo pour ce blog.
RépondreSupprimerFélicitations pour le voyage.
Bises à Jeanine de la part de Michele et Dominique
Je suis toujours aussi enthousiaste de lire des superbes commentaires et de regarder tes magnifiques photos. Gros bisous à tous et à toutes même si je ne les connaît pas. Bonne route.
RépondreSupprimerDu rêve à la réalité grace à toi Annie! Merci pour ce reportage .
RépondreSupprimerBonne visite à tous les 4 ...bonne intégration au petit Nouveau!!
Bises à tous les 4 . Mireille et Henri du SO
Encore bravo pour ce magnifique reportage en photos. J’espère que François se remet bien de son « coup de mou »… on le serait à moins quand on voit les dénivelés! Bravo les filles!
RépondreSupprimerJe pense bien à vous et vous embrasse.
Christine M.
Encore bravo pour tes photos et toutes ces informations pour ceux et celles qui vous suivent. La nourriture a l’air excellente sans oublier les desserts. Cela doit être difficile de reprendre le vélo après…. Bonne continuation.
RépondreSupprimerChristine Méry
Comme d'habitude, magnifique. Bravo pour les photos et les commentaires. On attend la suite avec beaucoup d'impatience. Fait une bise à Lionel de nous deux. Bon courage à vous tous. Patricia et Joël.
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